Edito politique n° 308 – Macron/Juppé, le Guen/Valls, Nuit Debout, Hollande/Trierweiler …

La semaine politique sous tous les angles

France … grandeur et décadence !

Il y a 25 ans, la France était la 3e puissance mondiale

Il y a 10 ans la France était la 6e puissance mondiale

Le FMI annonce que la France est maintenant … la 9e puissance mondiale

Classement Top Ten du PIB mondial

1 . Chine (17,1%),

2 . États-Unis (15,8%),

3 . Inde (7%),

4 . Japon (4,3%),

5 . Allemagne (3,4%),

6 . Russie, (3,3%)

7 . Brésil (2,8%)

8 . Royaume-Uni (2,4%),

9 . France (2,3%),

10 . Mexique (2%)

Et après nos « génies » pensent que nous sommes incontournables quand ils ne disent pas que « nous détenons la vérité », et que « nous sommes un peu les gendarmes de la liberté dans le monde » !

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Dans un tweet, avant même le début de l’émission, Valérie Trierweiler a comparé celle  de François Hollande à celle de catastrophique de Jacques Chirac en 2005 où ce dernier avait avoué ne pas comprendre les inquiétudes de la jeunesse.

Cette femme est vraiment pire qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine avec ses vitupérations de femme bafouée.

Ce qu’elle a étalé en public aurait dû se régler entre 4 murs.

Elle a fait du mal à la fonction présidentielle, comme Nicolas Sarkozy dans un autre genre avec son vocabulaire.

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Le secrétaire d'Etat socialiste Jean-Marie Le Guen a rouvert le débat sur la fin de la prohibition du cannabis.

Manuel Valls dit ce sujet «clos» ... l'année dernière.

Décidemment, Hollande et Valls ont bien des vagues houleuses dans leur propre gouvernement.

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François Hollande qui participait à l'émission Dialogues citoyens sur France 2 n’a convaincu personne, et les porte-drapeaux du PS, qui scandent à qui mieux mieux le « tout va mieux » du président, se ridiculisent face aux résultats chiffrés.

A part, même si c’est important, la croissance qui est passée de 0.2% à son arrivée en 2012, à 1.2% en 2015, le chômage, son engagement premier, lui ne cesse de progresser rejoignant les mêmes chiffres que ceux de son prédécesseur Nicolas Sarkozy.

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Ségolène Royal qui apprécie Emmanuel Macron depuis déjà longtemps (surement une des seules personnes du gouvernement) a déclaré :

Il subit les mêmes attaques que j'ai subies. Il est trop indépendant, trop libre, trop créatif, trop incontrôlable. Bref, il n'est pas dans le même moule que les autres, et ça me plaît.

Un futur ticket duo pour une présidentielle ?

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Election présidentielle 2017

Pour 52% des français interrogés les 14 et 15 avril, Emmanuel Macron, 38 ans, pourrait faire un « bon président », seul Alain Juppé, fait mieux que lui, avec 58%.

Derrière eux :

Manuel Valls (33%), Marine Le Pen (31%), Nicolas Sarkozy (29%) et François Hollande (18%).

Macron qui commence à faire peur, à gauche, comme à droite, après avoir reçu pendant 2 ans, des louanges de toute part, devient « l’ambitieux » …

Hypocrisie des barons de la politique en général, de l’extrême gauche à l’extrême droite.

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Henry de Lesquen, co-fondateur du groupe de réflexion du « Club de l'horloge », ex-conseiller municipal de Versailles, veut devenir le prochain président de la République. Dans ses idées de programme :

. une réflexion sur la destruction de la Tour Eiffel,

. annexion de la Belgique par la France,

. bannissement de la musique nègre des médias publics.

Sans commentaire … au suivant !

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Nicolas Sarkozy Président, François Baroin Premier ministre … hypothèse d’un ticket présidentiel à l’américaine.

Selon le Monde, Nicolas Sarkozy et le chiraquien François Baroin auraient « noué un pacte à l’été 2015 ».

L’ex essaie avec cette alliance de rajeunir son image et essayer d’aller pêcher des voix chez le maire de Bordeaux.

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En bref …

Les ténors du PS sont tellement « idiots », qu’à force de se déchirer sur tel ou tel sujet, ils scient la branche de la présidentielle en voulant « officiellement » que le président actuel soit le représentant d’une gauche dépassée par l’actualité et le monde du 21e siècle.

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Brice Hortefeux sur ITélé … où la démonstration de la langue de bois à son paroxysme !

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Nuit Debout, ne sera pas le Syriza en grec ou le Podemos espagnol, mais en cette période « d’état d’urgence » où toute réunion est interdite, entendre dire par certains que nous sommes dans un état « dictatorial », relève de la grande plaisanterie, pour ne pas dire « connerie ».

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Rendez-vous politique … au prochain édito … dans 15 jours … pas d’édito le 25 avril.

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